Tu marchais insouciante
Resplendissante
Et toujours aussi belle
La peau halée
Par un soleil guérisseur
Aucune trace,sur ton visage
De la douleur, de la mémoire
tu allais,
Comme vont les faussaire
Avec la certitude
Du bien fondé
De leur histoire.
TOI la couverture de luxe
L'enveloppe
Le ruban ,et le papier
Du cadeau qui entoure
Le néant
Je t'enviais de ton oubli
Si simple si facile,
Je t'enviais de cet amour
Que tu envois aux autre vents
Ici et là ,
De ces pages que tu tournes
Et que tu réécris à ta façon,
De cette vie avec laquelle
tu t'arranges.
J'enviais ta propreté
Cette belle apparence
Insipide.
Mon dieu que la souffrance
est belle
Quand la mémoire de l'amour
Est là ,
Que la solitude est douce
lorsqu'elle est vérité,
Que de temps passé
Pour préparé ces masques
de douleur.
Que d’efforts dois -tu faire
Quand il faut être triste,
Que de temps perdu
pour autant de simulacre.
Toi pour qui l'amour
n'a plus de sens
Toi pour qui l'amour
est un sens
Toi pour qui l'amour
est sans visage
Toi pour qui l'amour
n'est qu'un visage