Les guirlandes noyaient les réverbères
J'ai tué la poésie je l'avoue par frénésie
A force, par faiblesse, d'être un barbare
J'ai tué la poésie je l'avoue par hérésie

Cette strophe morte était une renaissance
Mais trop j'ai joué avec l'indécence
Voila que le vers est vide d'essence
Que l'être est un chien sourd d'apparence

Mais bien sûr je sais que je ne sais pas
Alors je pars O mes frères alors je pars
Pleurez ! larmoyez ! sur le p'ti jesaispas
Car il part O mes soeurs allez ! car il part

Mes doigts traversent l'écran perméable
Vous souhaitant bonne route les roses
Je tapote n'importe quoi, quelque chose
Du genre " Tu vas devenir admirable !"

Merci

yann

Des fois, c'est mieux !... ambiguïté.

FMR

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un petit passage à vide? Les mots reviendront, n'en doutez pas!

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Oh! oh! dit le grillon, je ne suis plus fâché ;
Il en coûte trop cher pour briller dans le monde.
Combien je vais aimer ma retraite profonde !
Pour vivre heureux, vivons caché.
Le grillon. Jean Pierre Claris de FLORIAN

Hélas petit je sais pas
Notre grain de folie
T'inquiete les derniers seront les premiers
Ou quelque chose comme ça

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Amicalement Alanna

bonsoir

"Tu vas devenir admirable "

Romalys