Enfermes moi, la crypte imagée
Parait sordide et si brillante
Enfermes moi donc, moi j'y survivrai
A tes paranos haletantes

Il y fait si noir
Que je n'y sens rien
Tu veux tant l'avoir
Que je n'y peut rien

Détruits moi, tous les déserts me siéront
Des verres claquants, des verres vides
Tes attaques ne me hanteront
Crachats de venin, crachats sordides

Part et disparait
Les lendemains, tard
Poindront maquillés
De saluts blafards

Bonjour Bhebhe, une poésie de trouvère que j'ai aimée.
Mon amitié.

Capricorne

superbe et bouleversante profondeur, un grand bravo poète et bon we

le sordide, la souffrance superbement dits ! Et l'on survit...

Je vous remercie, ces commentaires me font énormément plaisir!

Ton poème est difficile d’accès, il faut se creuser les méninges
J’ai compris ceci :
" vous pouvez dire bon débarras et trinquer, ça ne me touche plus…"

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l y a des prisons ou il fait bon vivre ... le mal ne peut plus atteindre le sensible du coeur ... des mots que j aurai pu écrire comme quoi la souffrance est commune ...
tendresse

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

Bonjour, un poème obscur, merci pour cette lecture originale

Amicalement