L'écran de toile blanc où tous s'essayaient,
Les plaisirs du monde que l'on découvrait,
Des premières erreurs, la gomme au crayon,
S'élever aux larmes et la peur sans raison.

Les traits étaient fins et fragiles de libertés,
Comme fonds ne voulant plus rien respecter,
Les choix se prononcent et se déterminent,
Essentielles fautes feront ce qui cheminent.

Puis sont venus les tons libres et réels,
L'envol des airs et l'ivresse des panels,
Des heures et des revirements de choix,
Sur l'oeuvre, son départ et l'envie de foi.

Les idées s'installent toujours et plus vive,
Les primaires en expérience se survivent,
Mais les couches osent et s'assombrissent,
Les peintures changent et s'accomplissent.

Et...

Le tableau se finit sur une vie de peinture,
Il se conclut de sagesse et par une signature,
Des conseils sur un mur ou que l'on ressort,
Des récits et des nostalgies que l'on décore.

D'une vie sur tableau...

LeCrieur...

J ai beaucoup aimé te lire, peignant a mes heures je sais exactement ce que tu veux dire et ressens

Un texte superbe de poesie et de liberté

Amitiés
Anamorphose

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Je suis un cartésien désabusé : Je pense, donc je suis mais.... je m'en fous

La solitude aspire dès lors où nous aspirons à être solitaires

J'ai lu.

Beau cheminement avec le doute et l'errance qui sied à toute œuvre créatrice
gemo :

Bonjour...

Merci pour vos commentaires...mes amitiés...

LeCrieur...