Bari a écrit :
Toi mon vulnérable grand cœur
Si sensible à la moindre douleur
Fragile que la flamme éphémère
Et légère de la bougie qui éclaire
Épuisé par le parcourt de ma vie
Qui n’était pas répit qu’on envie
Tu te retrouves alité aujourd’hui
Dans mon corps frêle et affaiblit

Loin des beaux rêves de jeunesse
Tant abondant d’ignées prouesses
Que le passé garde en délicatesse
En chers souvenirs à notre adresse
Ton mal tourmente mon existence
Noie mon âme dans l’impuissance
Et m’accule dans mon impatience
Par ses douleurs en recrudescence

Au bout du chemin nous traînons
Là où se bute le sens de la raison
Tous deux, ensemble à l’unisson
Cherchant la miraculeuse potion
Avant que notre ultime expiration
Ne s’élève dans l’air sans oraisons
Pour aller dans le néant sans fond
Amenant notre âme et nos horions

Abandonnant la terre à sa nature
Sans rien diminuer de sa mesure
Nous serons enterrés dans sa fêlure
Une tombe très exiguë et si obscure
Où chacun aurait sa réelle lumière
Selon ses antécédents sur la terre