Bonsoir Candidao
J'ai suivi les sillons qu'a laissés ta nef poétique dans ce dialogue qui laisse libre cours aux soupapes de libérer ou de garder au chaud le fond de certains mots qui se veulent
transporteurs disons plutôt télé-transporteurs d'un état de chose vers une nouvel état de choses.
sur les feuilles vertes au pied de vos ombragés vers je lis en y prenant l'escalier du fond,
et j'ai lu qu' Aristote aurait aimé faire des disciples et les embarquer sur sa nef vers
des horizons au sein des dunes

.
Aristote rêve de voir convertir à son concept maint émule,mais...mais..ne serait ce pas lÃ
involontaire crible ,une passoire qui distille et étale le bon blé car dans les dunes
et même les dunes ne sont de même forme et même cime

,
Car probablement qu'Aristote sait qu'en voulant porter le mot à sa cime et si guère
émules ne suivent la nef,la pyramide pourrait perdre sa base au milieu des dunes,
Sûr qu'il est bon de concourir au nouveau et d'ouvrir dans les nuées l'horizon,
mais en cela il y a toujours une taxe qui amène le vent seul dans les dunes,car
l'air se faufile et s'immisce là on l'attendait le moins...
Quand on peuple le ciel on déserte la terre

.
C'est que j'ai appris à reconnaitre les pas de tes babouches loin de là de malhabile allure,
et de lire en ton mot ce qui clame compréhension et qui dit en silence habile:" prenez
la porte de derrière mes mots et lisez!"

Quant à la forme de ta poésie ,elle parle d'elle même,et quand au fond alors j'ai
pris pleine liberté et plaisir d'y naviguer à ma guise...et d'y percer ses mystères.

Ne sois pas surpris si prochainement une autre réponse te sera adressée mais par
un poème,d'autant plus que je suis perplexe et curieux de connaitre cette poétesse que tu aimes

"
Convenons qu’il est mieux d’abuser du toupet
A L’endroit de « l’Eden » selon cette formule
Où chacun librement peut jouer du clapet
Et rêver convertir à nos jeux maint émule."
Ridouane,amitié