Le soleil brûle et me fait mal Sous mon masque sans teint Et toi, toi mon amour abyssal Tu me prends par la main
Sous ma peau je me sens sale Oh et mon âme à la tienne Dans le petit matin estival Toi tu cours à mes veines
Et je mendie sans cesse ton regard Et quand ma vie ne tourne plus à rien Je prie quelque fois, je prie le hasard Que tes yeux d'infini, croisent les miens.