Ma vision est , quand je regarde ton visage, celle d'un être triste qui erre sans répis.
Mes sens sont tel un décodeur d'images qui me renvoyent le reflet d'une triste vie.
Et même si chaque rire remplace la rage
J'arrive à voir une dureté forgé à l'infinie.
Les choix sont parfois confondus avec le partage Mais lorsqu'on est seul on jette l'éponge et on oubli.
Parfois on s'accroche fort à du rêve et aux mirages
C'est la toute la naïveté des êtres pleins de soucis.
Et comme les chemins sont semés d'echaffaudages
Plus dur devient alors de continuer sans mépris.
Quel honte plane ainsi au dessus de mes rivages
A qui dois-je une tel souffrance dans mes récits?
Ne serai-ce qu'une main m'extirpant de ce linchage...
Quotidien qui marque à jamais mon esprit.
Et j'apperçois au loin les êtres sans visages
Je les croise mais il n'y a que moi pour ouïr les cris
Dans un silence marqués par nos dérapages.... :-)

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:-D lambda :-(

chère Lambda
je ne t'avais pas encore rencontrée ! bienvenue sur ce site.
ce poème est poignant et criant d'une certaine souffrance qui transparait au fil des lignes.
j'ai beaucoup aimé ta façon d'exprimer tes sentiments et je comprends un peu ton désarroi face à ces êtres sans visages que tu croises.
la poésie est souvent une sorte de "thérapie" très agréable.
bonne continuation
amitiés
Brigitte

Merci pour ta lecture brigitte je vois que tu me comprend et que tu a saisie de quel façon je me "thérapise"seule lol !!!
Et oui merci les mots de m'aider a y voir , merci les lecteurs(trices) de me comprendre et de me faire savoir...
Abientôt brigitte
bisous
amitité :-( 8-)

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:-D lambda :-(