salut Chris-ray!
un joli poème qui interpelle les moments de bonheur inaperçu que nous apporte les accessoires, vêtements, objets, choses,,, avec lesquels nous avons partagé une forte participation émotionnelle et intellectuelle mais qu'on oublie vite et qu'on classe dans un placard, mais dans nos cœurs ils continuent d'exister pour toujours et nous stimulent à nous rendre compte qu'une partie de nous même ne puisse exister que grâce à cet héritage placardé,,,
ton fameux poème me rappelle mon poème "mes chaussettes vertes" belle coincidence, ravi de te lire comme d'habitude
félicitation pour ton recueil