Sur les joues ensablées, les dunes de mon visage,
Et de la poussière masquant ma véritable image,
Mes yeux se sont affaiblis au vent de mon cœur,
Et mes larmes sur le vaste chemin sont de douleur...

Mes pas se sont tu devant la quête de paix égarés,
Et j'ai vu un grand rocher pour l'ombre à son opposé,
Il me protégera de mon amour et de ses blessures,
Car l'aube de mon ciel est devenue un midi de tortures...

Mes doigts se sont perdus dans le désert de l'esprit,
Un dédale d'une existence qui jamais ne me réussit,
Les mots me parcourent et m'effleurent en une brise,
Avant de devenir ces tempêtes qui me détruisent...

Ce décor qui n'a de cesse de se changer les traits,
Et mes pensées qui n'ont de cesse de les affirmer,
J'attendrai le froid intense des nuits pour l'espoir,
Au-dessus l'opéra d'étoile me guidera dans le noir...

Les spectres m'éviteront le pas au clair des lunes,
La fraîcheur calmera le mal brûlant de l'infortune,
Et sa douceur m'enlèvera ses impuretés infécondes,
Pour ne me laisser que l'amour ici dans mon monde...

LeCrieur...

Chaque phrase est si pleine et riche que j'ai du relire plusieurs fois ...
Bravo pour ta poésie !

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Bonjour LeCrieur

Un poème que j'aime beaucoup! Il fait ressortir tant d'émotions fortes!!!

Sincères amitiés


Sémaphore

bonjour
avant tout merci pour le partage ...
après tant de déceptions le dernier quatrain est venu pour étaler l'espoir...
fraternellement mouloudi

Merci pour vos commentaires....

Mes amitiés...LeCrieur...