Sur cette partie de terre ,
Conquise par de grosses entreprises,
On perd nos beaux parterres,
Pour que les grands produisent.
Les grands pâturages d'antan,
Deviennent mémoire d'un passé,
Qui quand nous étions enfants,
Suffisait à nous permettre d'exister.
Comment a-t-on put changer ?
Au point de vouloir grandir,
Dans un univers fait de graviers,
Ou tout avenir ne peut que périr.
Seront nous obliger d'user de virtuel ?
Pour continuer à sentir ses saisons,
Qui donnait d'un geste perpétuel,
Aux êtres vivants de si douce sensations.
Marcher dans les rues les oreilles branchées,
Peut-il nous faire oublier ?
Ces gens maltraités qui erre dans nos quartiers,
N'ayant que leurs yeux pour pleurer.
Faudra-t-il encore une guerre?
Pour qu'enfin les gens soient solidaires.
Désoler François si j'exagère.
Mais c'est pour ma terre que j'espère.
Régis A
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"