Les ombres de la nuit rodent dans le jardin de mes calvaires,
Mais la poésie reste la flamme de mes espoirs,
Une idéologie, une douce lumière qui éclaire
Les tourments d’une humanité au cœur si noir,
Alors je prends ma plume qui tremble, pour crier ma colère,
Juste une dernière fois, avant qu’il ne soit trop tard…
Des mots vibrants , un cri rauque qui résonne dans ce poème ,
espérons que cette sombre vision ne soit jamais réelle .
Mes amitiés, Halcyon
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mes amitiés, Halcyon