Ouvre-moi les portes de ton sanctuaire, Où nulle permission, je possède la clef, Laisse-moi franchir tous tes mystères, Caresser ton interdit tant qui me plait…
Le froid dehors, tu me gardes au chaud, Tu m’accordes la douceur de ce sacrilège, D’âme en âme, nos corps seuls bientôt, Ma passion d'aimer s’octroie ton sortilège…
Saisis-toi de moi quand j'aurai fini ce repas, Laissons les nectars des dieux filer le sol, Emporte-moi là où je ne reviendrais pas, Dans ton havre de bonheur, mon idole...