D’ANGLET a SEIGNOSSE,
La cote il taille en brosse,
Sur ses plages jours âpres jours,
je me prélasse plein d’amour,
Cherchant ou il commence ,
Sans faire de préférence,
Suivant ses marées,
Sans oser les affronter,
Mon cœur au creux de ses vagues,
Est planter comme une dague,
Quant un bateau y dépose ses salissures,
Mon esprit en garde les blessures,
A tous je le partage comme un beau visage,
Alors soyez y sage
Derrière votre passage effacer vos traces,
Avant que ses vagues le fasse.
rég
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"