Plume d'argent Inscrit le: 25/7/2012 De: Envois: 318 |
le facteur Allez, avancez, mes chères lecteurs, n'ayez pas peur.Allez, entrez dans mon humble demeure. Avancez de lumière en lumière dans mes rêves les plus sombres. Vous y verrez à la longue la grande Lumière. Enfin, trêve de bavardage, commencons mes convives la soirée. Festoyez ce soir poètes avec moi ! Oublions le temps qui nous séparent et regardons vers l'au dela. Soyons libres, frères et égaux. Je n'ai plus envie de me battre vous savez. Allez s' il vous plait accompagnez moi ce soir dans mon humble demeure. Vous y verrez un monde hallucinant ou tout se confond, ou tout est profond.Allez, entrez, s' il vous plait. Vous y trouverez tout ce que vous désirez. Allez, venez, vous allez en pleurez du rire. Allez entrez je suis bien seul ce soir dans mon humble demeure. Il était la, petit, vif, amoché, sale sur son paillasson "welcome" a jacasser comme un con des choses incompréhensibles. Il puait la musique et écoutait l'alcool. Son regard perdu dans le vide et ses yeux écarquillés, maquillé comme un triste clow, il souriait gentillement, bavant et fumant. Pauvre homme, ses fleurs sont fannées, pauvres fleurs elles se meurent. Je suis partis, je n'ai pas compris, j'ai déposé le colis a ses pieds.
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