Les flammes de sable
Enlacent les chevilles,
Le vent, de son souffle, accable
Les digues ensevelies.
Les vagues géantes et fougueuses
Roulent et forment un écrin.
La houle jouit, la mine heureuse,
Et bouleverse les fonds marins.
A l’horizon, la ligne des bateaux
Craignant colère des eaux,
Se vide par enchantement….
Et la foule jase en s’éloignant.
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La peinture est une poésie qui se voit au lieu de se sentir et la poésie est une peinture qui se sent au lieu de se voir. (Léonard de Vinci)