Mon amie Clotilde Truchot de France
Est-elle malade d’une grande méfiance
Ou d’une fausse ruelle d’une tyrannie
Dans la distance d’une Méditerranée
Mon amie est malade en ce printemps
Je me claque la nuit de temps en temps
Moi la croyais née sous l’étoile d’orient
Dans le destin du clown debout et souriant
Rejoint l’Algérie ton destin, ton existence
Par le chemin le plus raccourci et sans résistance
LÃ tu pourras affronter la vie et ses soucis
Dans ce printemps, tu peux éviter le rassis
Viens mon amie est en mange les truffes
Dans le repos tendus de notre rif
Tu es d’une génération qui ne peut revenir
Pleurant pour autrui et son avenir
Viens dans les sentiers verdoyants et fleuris
Tu oublies la maladie tels les enfants qui rient
Ta vie sera noyée dans le bonheur
Et tu ne penseras plus un instant au malheur
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les années de disette dictent les poètes