LE PRINTEMPS dédiait à mon amie Clotilde
Le printemps est là et les fleurs apparaissent
Dans les prairies ils jaillissent sans cessent
L’apparition s’achève avec tant de couleurs
Ce beau tapis dégage les sensations odeurs
Dans ce champ avec les rayons de soleil
Les abeilles scintillent et fabrique du miel
Les petits papillons entament une course folle
Dans la nature ils jouent bien leur rôle
Ainsi que les oiseaux qui gazouillent et se déplacent
Avec les oisillons voraces qui béquée dans toutes les places
Dans un bleu d’azur sans nuages d’hiver
Ses oiseaux agités cherchent les petits vers
Dans ce monarque ou l’eau collait fraîche et claire
Les ruisseaux murmurent à travers champs en plein air
Les insectes envahissent le ciel et rampent leur silence
Excité Se couplent sans cesse et sans patience
En voient les familles avec leur petit qui déménagent
Et les bergers cheminant et leurs troupeaux devant
Qui va en s’amusant dans la douceur du soleil levant
De coin en coin de la nature, quel harmonieux ménage
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les années de disette dictent les poètes
