Plume de désir, désir de plume.

Tout désir on le sait est enfant de l’esprit
Même provenant du cœur, on le pense d’abord
Qu’il jaillisse d’un bond ou petit à petit
Dans la tête se tient toute envie qui vous mord.

Un rien peut provoquer l’initiale étincelle
Un sourire, un regard, un cil ou des cheveux,
Le timbre d’une voix, une rime si belle
Qu’on la lit et relit sans la quitter des yeux.

Je ne saurais vous dire tout ce que j’imagine
Quand votre écrit s’en vient raconter à mes sens
En mots harmonieux, en musique divine,
La joie du sentiment, la douleur de l’absence.

Féérique brûlure, une envie qui progresse
Négocie des caresses et des baisers sans fin
Le rêve s’ingénie à créer une ivresse
Où l’amour est bonheur, nécessité, destin.

La passion totale est une appartenance
Je ne suis plus à moi tant je veux être à vous
Un mot seul, choisi, devient une relance
Saviez vous que vos vers pouvaient me rendre fou.

Alors écrivez-moi ! Que par les yeux je brûle
De cette lancinance qui m’attaque le cœur
Il y a tant de feu dans la moindre virgule
Que de vous désirer je n’ai même plus peur.

Puis si l’amour me tue en m’embrasant trop fort
Et que l’indifférence interrompe vos rimes
Faites un dernier quatrain n’ayez pas de remord
Vos souvenirs émus me serviront d’abimes.


Néo-Olucinep XIV 03 MMXIII

un désir qui je le souhaite sera comblé"

Beau si beau le coeur au bord des larmes
Savez que vos vers pouvaient me rendre fou
Je ne suis plus à moi tant je veux être à vous

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Amicalement Alanna

plume de désir
qui aime à partager: son plaisir
c' est d'écrire

j'aime le troisième quatrain

sans le désir, la vie serait si fade
il est ce qui nous pousse vers.........demain


amitiés

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

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je ne suis plus à moi ... tant je veux être à vous ...

je reste pensive et rêveuse ... et puis que j'aime ce vous ... qui intensifie ton superbe poème ...
ravie de l'avoir lu ...

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]