Souvent au rêve qui dévore
Vivante la réalité
J'implore qu'il conjugue encore
Pour moi être et avoir été

Pour moi qui ne suis qu'en automne
L'ombrelle de ce que je fus
Qu'il veuille me faire l'aumône
D'un parasol sous le vécu

Mais hivernal imperméable
Et mieux vaut en rire avec lui
Il m'a offert auto-ouvrable
Pour le printemps un parapluie.

Au printemps de l'automne , les rêves ont bien le temps de devenir réalité,et de s'épanouir bien abrités sous ombrelle , parasol ou parapluie .

Prends garde tout de même aux giboulées de Mars .

Délicieux.

Amitiés, halcyon

Tu es toujours où on ne t'attends pas avec des mots ttes forts en poésie
Le rêve se prémunit du passé se protège de l'avenir
Attention de ne pas te laisser emporter comme mary poppins au pays des rêves

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Amicalement Alanna

dans l'hiver du présent ... tu passais à l'automne ... pour fleurir au printemps ... et briller en plein été

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

Bonsoir Zutalor

les quatre saisons passées du songe à la réalité ou l'inverse, vaut mieux un hiver ensoleillé qu'un printems pluvieux dans les deux nuances du temps.

Amicalement Franie

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