Le vent sur le pré jaune signe le passage,
D'un souffle de vérité sur la nouvelle page,
Les matins sont de moins en moins de rosée,
Et le soleil achève la nuit en cette matinée.

Dans les arbres saisissants de couleurs,
La canicule ôte les dernières fleurs,
Le chant des oiseaux, avant la fournaise,
Se pressent avant de perdre leurs aises.

Les heures filent sous le manteau,
Comme nos sueurs sous ce fléau,
Les ombres sont prisées sous torture,
Le monde de nos bêtises ici endure...

La journée active qu'aux extrémités,
Au début où à la fin, le midi à éviter,
Il approche l'apogée du rayonnant,
Où le monde se fige un châtiment.

Les Hommes et les bêtes, au refuge,
À l'ombre et au frais, ils s'insurgent,
Contre la dictature de cet implacable,
À son zénith, il rit d'éclat intouchable.
...
Il nous donne la vie et s'en ressaisit,
Il est bon et d'une cruauté indéfinie,
Il nous réchauffe et aussi nous brûle...
À son respect nous restons incrédules...

Il est le tyran du ciel...

LeCrieur...

je crois que nous sommes les tyrans de nous même .... il n'y a rien là haut mais il y a nous en bas ...

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

Cher Allan
Tyran chez vous et ici nous l'attendons tant ce roi
Après un hiver de grisaille et de froid
Tu le décris de façon si oppressante
Il rythme notre vie par sa loi
Bises à toi
Mon ami

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Amicalement Alanna

Oui il est bon et mauvais...et différent pour chacun d'entre nous...

Merci pour vos commentaire mes amies...