Quand le ciel a pleuré de ses si chaudes larmes,
Enormes gouttes que les nuages vidaient,
Le bercail triste et affligé son fils perdait
Ainsi résidait dans nos poires un mal ferme.
Je revois ces faces mornes,ridées où souples
De livides regards portant,la mine sombre.
Je revois ce gouffre que les cailloux encombrent,
Que les cris d'oiseaux et eaux pluviales troublent.
Nous dormons dans la pénombre,ils gisent au gouffre,
Les années fusent,parfois,on omet les prières
Au quotidien.Néanmoins, ils demeurent comme pierres
Dans nos pensées.et nos coeurs pansées toujours souffrent.
LA PLUME NOIRE...