Peut-être là où tu vas, il n'y a pas d’espoir,
Toujours le gouffre, et son trou noir,
Ici au moins, en te souhaite la bonne heure,
Chaque fois en te lut, le bon et le désespoir,
En demande en bon Dieu, à t’aider dans la vie,
Et dans tout, ce que tu as envie
Ne quitte pas comme ça, c’est le monotone,
Reste avec nous, jusqu'au prochain automne,
L’hiver et l’été, et le seigneur accordent,
En ce moment j’implore, Dieu pour sa miséricorde,
Souvent excédé, par ce monde complexe,
Ne t’égare pas, et ne reste pas complexe,
Ma chère poétesse, accepte ton destin,
Souvent sans préavis, tu vivras le plein festin,
Ne vois pas toujours, les choses a l’envers,
Et implore le bon Dieu, maître de l’univers
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les années de disette dictent les poètes