Toc, toc, toc. Toc, toc, toc, qui donc frappe à ma porte ! Ce maudit souvenir qui me relance encore, Je n’en ai plus envie, que le diable l’emporte, Mon cœur suffit à peine à animer mon corps.
Cependant il insiste et jusque dans mes rêves, Il trace son destin sans s’occuper du temps, Ne ressent-il donc pas qu’ici ma vie s’achève Et qu’aux plaisirs d’amour, je ne suis plus un paon.
Mais l’animal est sourd, il poursuit son chemin, Brulant à petits feux ce qu’il reste de bois, La cendre a recouvert l’histoire en parchemin