"O vent déviant la folle nuit des nuages lucides ,
ta colère est incertaine et enivre les chevaux,
Ne passe plus dans les chemins de mon coeur,
Va t-en gonfler les voiles des clairs trois mats,
Les coups de vent ont déchiré mes amours,
laissant blesée la ville où je marchais servile
ne restent ni refuges ni maison accueillante ,
où je puisse oublier l'évidence de tes cheveux...."
superbe ami, merci
----------------
Méfiez vous des apparences