Retrait provisoire



Hommage de Napola :

L umière dans les Cieux,
O mbre sur la Terre,
I nvisible présence,
C ri du coeur, délivrance.

Merci

----------------

Pour une fois,
Je vais me taire...

A bientôt

Thierry

Le soleil se lève et je meurs innocent.

que dire de plus ...

(que je suis là tout près, toujours)

et puis ... de mère en fils, le don de dire.



et puis je t'embrasse jusqu'au ciel
au moins.

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[La nuit des rois, les femmes seront reines]

http://leaviola.blogspot.com/

"Nous sommes corps à corps nous sommes terre à terre
Nous naissons de partout nous sommes sans limites" PE

Le visage d'un Ange, qui a rejoint les siens !

Que dire, les mots sont impuissants..

De tout coeur avec toi,

Je t'embrasse,

----------------
Ouvrez l'oreille, chaque mot possède un coeur qui bouge. (Nimier)

Toutes mes condoléances.
Je ne saurai trouver les mots adéquats, il savait écrire. Ce poème d'amour est fort, est beau.
Je suis de tout cœur avec toi dans cette terrible peine, courage.

Il est des moments où les mots n'ont pas leur place

seules les pensées amicales de soutien sincère doivent subsister

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Bonjour Miss Terre, accepte mes condoléances les plus sincère et attristées.
Perdre un enfant de cet âge est une chose terrible pour une maman.
Mes bisous courage.

Capricorne

J'embrasse très fort en pensée
Ton coeur de mère
Que la paix soit avec ton petit Loic
Grosses bises à toi et bon courage

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Amicalement Alanna

Juste les mots du coeur

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Un très bel écrit qu'il a laissé, toute mes condoléances chère Miss Terre.
De tout coeur avec toi,
Symphonie

que dire?????

mes condoléances, c'est peu pour décrire ce que je ressens à la lecture de son poème et de cette terrible nouvelle!!!!

tu as mon soutien et mon amitié sincère.

Bouana.

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https://www.edilivre.com/poemes-a-contresens-richard-gabrieli.html

toutes mes condoléances .... je n'ai pas de mots ... il n'y en a pas ...
mon infinie tendresse ...

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

Reçois chère Miss-Terre
les amicales pensées d'un coeur
éprouvé par cette terrible nouvelle..

IL était poète ..

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MON 2eme RECUEIL...JE TE PORTE L'AUBE..EST DISPONIBLE..
http://www.oasisdesartistes.com/modules/newbbex/viewtopic.php?topic_id=97282&forum=47

De tout coeur avec ton coeur de mère brisé, même s'il est impossible d'éprouver pareillement cette détresse terrible !

N.G.

C'est émouvant à lire jusqu'à la fin
Miss terre je vous présente mes condoléances et vous souhaite beaucoup de courage.
J'ai perdu un fils moi aussi il n'avait que 10 ans les dernier mots qu'il a écrit dans son cahier de classe : "Je dors" des mots qui dans mon esprit ne cessent de se remuer...

Mon amitié

Hamid.

Les mots sont dérisoires après un tel malheur.
C'est vraiment terrible et je ne peux que te présenter mes sincères condoléances et te dire que je suis de tout coeur avec toi.
Tu as bien fait de poster le poème De Loïc qui est magnifique et très profond.
Bien amicalement . Ghiscou

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:-( vous pouvez retrouver ma famille, mes amis et toutes mes émotions sur :http://ghislainepoesie.free.fr
Merci à tous pour vos commentaires qui me vont droit au coeur

Les morts ne sont pas morts:ils sont toujours parmi nous...



Amicalement,

Koura

Un mot, un seul : courage. Et puis le silence des autres mots.
Amitié

Mes mots me paraissent si dérisoirs, je suis de tout coeur avec toi
Amitié
Claude

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mon blog : http://pacificlaude.blog4ever.com

...

aucun mot...mais des pensées, tant de pensées

----------------
Méfiez vous des apparences

Bonjour ma chère MissTerre,

Tu as trouvé le courage...

Le poème de Loïc est magnifique,et si triste...
Il sonne comme un adieu...

Sois en paix, Loïc...

Pour le départ de Loïc, nous en avons déjà parlé...
Tu sais que je suis là, par la pensée,
et toujours prête à t'écouter et à t'épauler.

Avec toute mon Amitié,
Je t'embrasse affecteusment,

Napola

:

"A Vos Amours"


C'est par là oui que tout commence
Quand papa et maman s'élancent
L'un contre l'autre transis d'amour
Prêts à donner Vie pour toujours
C'est par là oui que tout commence
Par une valse, une première danse
Corps contre corps, yeux dans les yeux
La vie commence quand on est deux

Un jour papa très tendrement
A déposé sa petite graine
Dans le ventre doux de maman
Sa petite femme, sa tendre reine
Passent les jours, maman grossit
Gonflée de vous, gonflée de vie
Elle se réveille en pleine nuit
Mon amour, vite, j'ai une envie !

A ses p'tits soins, papa se lève
La couvre de câlins, la soulève
Il pose sa main tout doucement
Pour ne pas réveiller l'enfant ...
C'est par là oui que tout commence
Papa panique, maman a mal
Allo, vite, vite une ambulance
Bébé arrive, maman est pâle

Au p'tit matin, le coeur broyé
C'est toi p'tit ange qu'elle a serré
Dans ses p'tits bras tout fatigués
Je crois bien même qu'elle a pleuré
C'est par là oui que tout commence
Par ce grand cri, ces larmes de joie
Tu vois, bébé, maman est née
Avec toi, pour toi, ce jour-là

J'écris ces mots pour toi, pour vous
Peut-être bien qu'un jour tout doux
Elle vous lira ces quelques lignes
Un peu émue mais toujours digne ...
De vous, ses amours, sa raison
D'être, n'être qu'une Belle maman
Une femme de coeur et de passion
Qui donnerait tout et tellement ...

Pour vous voir sourire à la vie
Encore, toujours, plus, c'est ainsi ...
Que tout commence mes p'tits chéris.

Je ne vous connais pas vraiment
Mais acceptez ce doux présent
Et aimez-la votre maman
Aimez-la fort ... elle est Tellement ...

Fort pour vous
F. pour Vous

A LMN ...


Pour toi Loïc.

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[La nuit des rois, les femmes seront reines]

http://leaviola.blogspot.com/

"Nous sommes corps à corps nous sommes terre à terre
Nous naissons de partout nous sommes sans limites" PE

Les mots me manquent quand un tel malheur frappe , j'imagine l'immense douleur qui est la tienne .
Ce poème qu'il a écrit ,tu dois le lire et le relire ,il est si beau
Je pense très fort à toi , et à Loïc

De tout cœur avec toi ma chère Miss Terre,
Mon amitié,mon soutien,

Halcyon

Je ne peux te répondre que par le douloureux silence de la compassion.
HONORE

mon fils aussi adore le rugby,il vient d'arreter cette année faute de temps .et puis ,il a préférer rester un peu plus a la maison ma fois c'est son choix et je le respecte.sache que je suis de tout coeur avec toi .il a écrit là un bien beau poème.
sinon quoi dire a part:courage!!!!!!!!
bise sincère et amicale avec tout mon soutien

Bonjour Ma chère MissTerre

Pour cette douleur qui t'affecte aujourd'hui.. toi et les tiens.. saches que du fond du cœur.. mes pensées s'envolent vers vous...

Bon courage dans ses épreuves difficiles de la vie.
De tout cœur avec toi.

je t'embrasse très fort

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Le silence est venu
une larme émue.


sincères condoléances à missterre..et à toute la famille en deuil..

Parce que j'ai connu cette douleur, perdu un être cher

ce sera ....



MON COUP DE COEUR dans le coin des


MASCOTTES

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Je ne trouve pas les mots...Juste te dire qu'ils contiennent toute mon amitié et mes pensées...
De tout coeur avec toi..
Courage à toi et ta famille
Mon amitié sincère

Très émouvant pour moult raisons. Fauché brutalement en pleine jeunesse
le pire pour ceux qui y survivent...

sincères condoléances , une perte terrible pensées à toute la famille

Il avait un don d'écriture

L'épreuve que tu traverses est tellement terrible...
Et comme le dit Ghiscou, les mots sont si derisoires !...
Mais peut-être que ceux que tu liras sur le lien ci-dessous
pourront apporter ne serait-ce qu'un peu d'apaisement
a ton immrnense chagrin...

Toute ma compassion t'accompagne.

Reste forte et courageuse pour lui, qui, sois-en certaine,
veille sur toi de là-haut et t'envoie sa lumière

http://www.ephphata.net/La%20mort/la-mort-ragueneau.html

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https://orangelle-poemes.blog4ever.com/
poèmes protégés
http://www.copyrightdepot.com/rep102/00041418.htm

Toutes mes pensées sont avec toi, je ne saurai quoi dire
Courage

Pas de mots
Juste le silence

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

J'imagine en lisant son fougueux poème qu'il devait être un bon fils ,un bon joueur et un bon coéquipier. Je jouais au rugby à son âge. J'essaie d'imaginer ta douleur et elle me bouleverse ! Donc je me tais mais j'y penserai souvent.

Que dire dans de si tristes circonstances... Les mots n'ont pas de poids devant le coeur affligé. Je ne puis que compatir à ton immense peine et t'offrir mon soutien dans ces pénibles moments.
Avec toute mon Amitié.
Christian

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Christian RAY avec Michel Drucker et Patrice Laffont

Que dire? les mots sont impuissants! Je compatis à ta douleur.
toutes mes pensées et mon soutien;
Que Loic repose en paix.

Chère Miss Terre,

Mon âme de mère se déchire et ne trouve pas les mots pour te dire combien je partage ta souffrance...
Les mots n'existent plus...
Un ange est parti au paradis, son âme de poète s'est envolée vers d'autres cieux.
Vienne l'apaisement pour toi et ta famille et puisse le temps soulager votre peine.
Et que les anges du ciel prennent soin de ton Ange.

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Amitiés,
Maria

On ne recommence plus, mais se souvenir c'est presque recommencer. Charles Nodier

Les mots me manquent... mon coeur se serre....!
En tant que mère je compatis à ta douleur !
Merci MissTerre d'avoir posté son poème sur Oasis car Loïc était un ange et un vrai poète...!!
Mes sincères condoléances !
Je t'embrasse très fort - Gilda

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J'ai lu et je ne sais que dire.

Très beau poème de Loïc.

Je suis tellement en douleur.

Condoléances,amie.

Amitié,Erhan

Je suis sans voix.
Pas de mots.

Je pense à toi, à Loïc.

Il va te falloir beaucoup de courage. Chienne de vie.

Mes pensées attristées. Sincères condoléances.

Une maman qui te serre sur son coeur.

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La vie est belle il faut savoir l'apprécier.

Recueils édités
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Mille baisers, courage,
Jean Marie

Loïc, est une belle âme qui fait vibrer encore aujourd'hui nos cordes d'argent... C'est bien qu'il soit là, avec nous...

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http://www.gillestristan.fr/

Il est des moments où le silence est une vertu
Alors je me tais

veuillez accepter toutes mes condoléances, mon amie

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Le silence est d'or donc je me tais devant l'impensable et t'envoie mon amitiée
Joëlle

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On a tous le sang de la même couleur

bonjour
je ne peux placer un mot tant la douleur est profonde devant cette perte que nous devons accepter comme la loi de la nature...
fraternellement mouloudi

Tout comme toi je n'ai pas beaucoup de mot, mais ce qui est certains désormais, c'est qu'a chaque début de match je porterais le n°6 fièrement et avec hommage pensant à Loïc.

Mes amitiés et mes hommages les plus sincères

Mes plus sincères condoléances...
De tout coeur avec toi dans cette épreuve.
A la manière d'Apollinaire, un poème pour l'accompagner vers la lumière...


Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Victor Hugo



Tendresse, Camille.

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J'ai toujours été passionné par le mariage de l'ordre et du désordre, que ce soit l'un qui produise ou perturbe l'autre, ou l'autre qui produise ou perturbe l'un.

François Morellet

je suis si triste!

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http://www.youtube.com/watch?v=e4EqjvnWfRM

En attendant...

Et me voilà les pieds ballants,
Petite enfant,
Assise sur le rebord du monde
Encore, mais différemment.

Je dessine du bout des doigts,
Sur le sable de verre qui couvre le sol,
Un nuage mouton rond, un soleil qui sourit,
Une lune en croissant, je passe le temps,
en attendant.

Isolée en instant,
Volontairement, dans ce recoin de l'onde
Je guette tout mouvement.
Tout n'est plus qu'instant.

Je tends à croire qu'un jour
Sur ce rebord d'amour
Tu viendras poser ton aile,
Que tu me parleras comme au premier jour
De ton amour pour elle.

Elle, cette mère sur le bord de la rive
Le cœur en croix qui dérive,
Qui malgré son naufrage t'attend
Pour le reste de son temps,
Espérant voir ton aile poindre
Sur l'écume de ses tourments.

Cette elle, celle que je suis
Quand je ne suis pas là
Sur le rebord du monde
Assise les pieds ballants.
Toujours, je t'attends.

Le 12/02/2013...

Merci à vous
God Bless You

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Triste amour impossible ... Bizoux

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:biso...

Beaucoup de compassion
Affectueusement

Que dire ?

A pars que de tout mon cœur je te soutient.
Les mots dans cette situation c'est rien.
Seul peut-être ceux de nos cœurs.

Que Loic puissent vivre éternellement parmi les étoiles....

Bisous

En attendant...

J'ai lu.

Je tends à croire qu'un jour
Sur ce rebord d'amour
Tu viendras poser ton aile,
Que tu me parleras comme au premier jour
De ton amour pour elle.

Oui,jen suis sûr. Pour l'instant il veille sur vous.

Je pense très fort à Loïc.

Amitié,Erhan

...

"Would you know my name
If I saw you in Heaven?
Would you feel the same
If I saw you in Heaven?
I must be strong and carry on
'Cause I know I don't belong here in Heaven

Would you hold my hand
If I saw you in Heaven?
Would you help me stand
If I saw you in Heaven?
I'll find my way through night and day
'Cause I know I just can't stay here in Heaven

Beyond the door there's peace I'm sure
And I know there'll be no more tears in Heaven"

(Tears in Heaven, Eric Clapton)



Pteach

Pas de mots....juste un grand élan de tendresse

Les mots seraient bien peu intenses pour démontrer toute l'émotion que j'ai à te lire, à vous lire

Loïc avait une magnifique plume, cet acrostiche est superbe

je suis de tout coeur avec toi dans cette douloureuse épreuve et t'embrasse

Ghis

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https://www.facebook.com/ghislaine.graffard

J'ai trouvé ce très beau poème de V. Hugo que beaucoup d'énergie vous connaissent mais tel n.,était pas mon cas.
Je voulais le partager ici avec vous.

Merci à vous pour votre tendresse, votre affection, votre soutien, et vos compliments à Loïc pour son premier acrostiche.

Victor HUGO (1802-1885)

A Villequier

Maintenant que Paris, ses pavés et ses marbres,
Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux ;
Maintenant que je suis sous les branches des arbres,
Et que je puis songer à la beauté des cieux ;

Maintenant que du deuil qui m'a fait l'âme obscure
Je sors, pâle et vainqueur,
Et que je sens la paix de la grande nature
Qui m'entre dans le cœur ;

Maintenant que je puis, assis au bord des ondes,
Emu par ce superbe et tranquille horizon,
Examiner en moi les vérités profondes
Et regarder les fleurs qui sont dans le gazon ;

Maintenant, ô mon Dieu ! que j'ai ce calme sombre
De pouvoir désormais
Voir de mes yeux la pierre où je sais que dans l'ombre
Elle dort pour jamais ;

Maintenant qu'attendri par ces divins spectacles,
Plaines, forêts, rochers, vallons, fleuve argenté,
Voyant ma petitesse et voyant vos miracles,
Je reprends ma raison devant l'immensité ;

Je viens à vous, Seigneur, père auquel il faut croire ;
Je vous porte, apaisé,
Les morceaux de ce cœur tout plein de votre gloire
Que vous avez brisé ;

Je viens à vous, Seigneur ! confessant que vous êtes
Bon, clément, indulgent et doux, ô Dieu vivant !
Je conviens que vous seul savez ce que vous faites,
Et que l'homme n'est rien qu'un jonc qui tremble au vent ;

Je dis que le tombeau qui sur les morts se ferme
Ouvre le firmament ;
Et que ce qu'ici-bas nous prenons pour le terme
Est le commencement ;

Je conviens à genoux que vous seul, père auguste,
Possédez l'infini, le réel, l'absolu ;
Je conviens qu'il est bon, je conviens qu'il est juste
Que mon cœur ait saigné, puisque Dieu l'a voulu !

Je ne résiste plus à tout ce qui m'arrive
Par votre volonté.
L'âme de deuils en deuils, l'homme de rive en rive,
Roule à l'éternité.

Nous ne voyons jamais qu'un seul côté des choses ;
L'autre plonge en la nuit d'un mystère effrayant.
L'homme subit le joug sans connaître les causes.
Tout ce qu'il voit est court, inutile et fuyant.

Vous faites revenir toujours la solitude
Autour de tous ses pas.
Vous n'avez pas voulu qu'il eût la certitude
Ni la joie ici-bas !

Dès qu'il possède un bien, le sort le lui retire.
Rien ne lui fut donné, dans ses rapides jours,
Pour qu'il s'en puisse faire une demeure, et dire :
C'est ici ma maison, mon champ et mes amours !

Il doit voir peu de temps tout ce que ses yeux voient ;
Il vieillit sans soutiens.
Puisque ces choses sont, c'est qu'il faut qu'elles soient ;
J'en conviens, j'en conviens !

Le monde est sombre, ô Dieu ! l'immuable harmonie
Se compose des pleurs aussi bien que des chants ;
L'homme n'est qu'un atome en cette ombre infinie,
Nuit où montent les bons, où tombent les méchants.

Je sais que vous avez bien autre chose à faire
Que de nous plaindre tous,
Et qu'un enfant qui meurt, désespoir de sa mère,
Ne vous fait rien, à vous !

Je sais que le fruit tombe au vent qui le secoue,
Que l'oiseau perd sa plume et la fleur son parfum ;
Que la création est une grande roue
Qui ne peut se mouvoir sans écraser quelqu'un ;

Les mois, les jours, les flots des mers, les yeux qui pleurent,
Passent sous le ciel bleu ;
Il faut que l'herbe pousse et que les enfants meurent ;
Je le sais, ô mon Dieu !

Dans vos cieux, au-delà de la sphère des nues,
Au fond de cet azur immobile et dormant,
Peut-être faites-vous des choses inconnues
Où la douleur de l'homme entre comme élément.

Peut-être est-il utile à vos desseins sans nombre
Que des êtres charmants
S'en aillent, emportés par le tourbillon sombre
Des noirs événements.

Nos destins ténébreux vont sous des lois immenses
Que rien ne déconcerte et que rien n'attendrit.
Vous ne pouvez avoir de subites clémences
Qui dérangent le monde, ô Dieu, tranquille esprit !

Je vous supplie, ô Dieu ! de regarder mon âme,
Et de considérer
Qu'humble comme un enfant et doux comme une femme,
Je viens vous adorer !

Considérez encor que j'avais, dès l'aurore,
Travaillé, combattu, pensé, marché, lutté,
Expliquant la nature à l'homme qui l'ignore,
Eclairant toute chose avec votre clarté ;

Que j'avais, affrontant la haine et la colère,
Fait ma tâche ici-bas,
Que je ne pouvais pas m'attendre à ce salaire,
Que je ne pouvais pas

Prévoir que, vous aussi, sur ma tête qui ploie
Vous appesantiriez votre bras triomphant,
Et que, vous qui voyiez comme j'ai peu de joie,
Vous me reprendriez si vite mon enfant !

Qu'une âme ainsi frappée à se plaindre est sujette,
Que j'ai pu blasphémer,
Et vous jeter mes cris comme un enfant qui jette
Une pierre à la mer !

Considérez qu'on doute, ô mon Dieu ! quand on souffre,
Que l'Å“il qui pleure trop finit par s'aveugler,
Qu'un être que son deuil plonge au plus noir du gouffre,
Quand il ne vous voit plus, ne peut vous contempler,

Et qu'il ne se peut pas que l'homme, lorsqu'il sombre
Dans les afflictions,
Ait présente à l'esprit la sérénité sombre
Des constellations !

Aujourd'hui, moi qui fus faible comme une mère,
Je me courbe à vos pieds devant vos cieux ouverts.
Je me sens éclairé dans ma douleur amère
Par un meilleur regard jeté sur l'univers.

Seigneur, je reconnais que l'homme est en délire
S'il ose murmurer ;
Je cesse d'accuser, je cesse de maudire,
Mais laissez-moi pleurer !

Hélas ! laissez les pleurs couler de ma paupière,
Puisque vous avez fait les hommes pour cela !
Laissez-moi me pencher sur cette froide pierre
Et dire à mon enfant : Sens-tu que je suis là ?

Laissez-moi lui parler, incliné sur ses restes,
Le soir, quand tout se tait,
Comme si, dans sa nuit rouvrant ses yeux célestes,
Cet ange m'écoutait !

Hélas ! vers le passé tournant un œil d'envie,
Sans que rien ici-bas puisse m'en consoler,
Je regarde toujours ce moment de ma vie
Où je l'ai vue ouvrir son aile et s'envoler !

Je verrai cet instant jusqu'à ce que je meure,
L'instant, pleurs superflus !
Où je criai : L'enfant que j'avais tout à l'heure,
Quoi donc ! je ne l'ai plus !

Ne vous irritez pas que je sois de la sorte,
Ô mon Dieu ! cette plaie a si longtemps saigné !
L'angoisse dans mon âme est toujours la plus forte,
Et mon cœur est soumis, mais n'est pas résigné.

Ne vous irritez pas ! fronts que le deuil réclame,
Mortels sujets aux pleurs,
Il nous est malaisé de retirer notre âme
De ces grandes douleurs.

Voyez-vous, nos enfants nous sont bien nécessaires,
Seigneur ; quand on a vu dans sa vie, un matin,
Au milieu des ennuis, des peines, des misères,
Et de l'ombre que fait sur nous notre destin,

Apparaître un enfant, tête chère et sacrée,
Petit être joyeux,
Si beau, qu'on a cru voir s'ouvrir à son entrée
Une porte des cieux ;

Quand on a vu, seize ans, de cet autre soi-même
Croître la grâce aimable et la douce raison,
Lorsqu'on a reconnu que cet enfant qu'on aime
Fait le jour dans notre âme et dans notre maison,

Que c'est la seule joie ici-bas qui persiste
De tout ce qu'on rêva,
Considérez que c'est une chose bien triste
De le voir qui s'en va !

Victor Hugo


Oui considérez que ce le soit... Et qu'on vous en veuille parfois qui que vous soyez ou pas au-delà.



Merci à vous
Merci pour tout

----------------

Cette très belle prière pour bercer ta douleur

Prière de Saint Augustin

Ne pleure pas, si tu m'aimes !
Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le ciel !
Si tu pouvais d'ici entendre le chant des Bienheureux,
et me voir au milieu d'eux !
Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux
les immenses horizons et les nouveaux sentiers où je marche!
Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté
devant laquelle toutes les beautés pâlissent !
Quoi... ? tu m'as vu... tu m'as aimé dans le pays des ombres
et tu ne pourrais ni me revoir ni m'aimer
dans le pays des immuables réalités ?
Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens
comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient,
et quand, un jour que Dieu seul connaît et qu'il a fixé
ton âme viendra dans ce ciel ou l'a précédée la mienne...
ce jour-là, tu me reverras et tu retrouveras mon affection purifiée.
A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse,
je sois infidèle aux souvenirs et aux vraies joies
de mon autre vie et sois devenu moins aimant !
Tu me reverras donc, transfiguré dans l'extase et le bonheur,
non plus attendant la mort,mais avançant, d'instant en instant,avec toi,
dans les sentiers nouveaux de la lumière et de la Vie !
Alors... essuie tes larmes, et ne pleure plus... si tu m'aimes... !

----------------
Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.

Bonsoir Missterre

Il est des instants que seul le silence puisse exprimer avec délicatesse le ressenti profond.
L'amour qu'il te porte et celui que tu lui porte rejoint l'éternité de l'infini.


Que paix soit en toi et sur lui..


Juste quelques vers pour toi pour lui:



Laisse là donc couler mer!
Cette larme qui trop amère
sous tes cils dort
Et refuse mon sort

ô mère!qu'il est vaste le ciel!
Ce n'est guère en tes larmes
Que vivra libre mon âme
En ton coeur j'y serai éternel

Aprés la mort c'est à la vie
Que je goûte de pure envie.



Ridouane,attristé

BONJOUR MISSTERRE

j'ai mis ce POEME DE LOIC

DANS MES COUPS DE COEUR DE MASCOTTE

puis je avoir la PHOTO Sans le texte

pour qu'on puisse éditer le poème de LOIC

merci , amitiés

avons nous le droit de mettre son poème DANS MES COUPS DE COEUR?

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Je viens tout juste de découvrir:
Une pensée pour Loic
Tout mon coeur avec la maman

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Bonjour Madame la poétesse Missterre

Maman (Salima25) m'a fait connaitre la terrible nouvelle, je n'ai pas pu me connecter avant, c'est pour cela aujourd'hui je viens vous présenter mes sincères condoléances.
Je comprends votre douleur poétesse, il faut être forte et avoir beaucoup de courage.
Prenez soin de votre santé, que votre fils Loïc repose en paix

de tout cœur avec vous et les vôtres

Bien amicalement et gros bisous

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LAURA25

Un mois ...
Je ne sais pas mon Ange si tu imagines ce qu'est devenu un mois ...

On se disait que le temps passait trop vite ... L'optique a changé ...
Radicalement ...

Je t'A.



~~~~~~~~~~~~~~~~~ < Le voilier > ~~~~~~~~~~~~~~~~~


Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l'océan.
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon.
Quelqu'un à mon coté dit : "Il est parti ! "
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard, c'est tout !
Son mât est toujours aussi haut,
sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui.
Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit : "Il est parti ! "
Il y en d'autres qui, le voyant poindre à l'horizon et venir vers eux,
s'exclament avec joie : "Le voilà ! "
C'est ça la mort.


Auteur inconnu
attribué par erreur à W. Blake en France uniquement.


Merci à vous pour vos lectures de cet acrostiche.

Je vous remercierai plus individuellement un peu plus tard.

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Je pense à vous, je pense à lui.

Je vous embrasse, puisse les mots, les vôtres et les nôtres vous apporter un peu de sérénité.

Je vous embrasse

Michèle

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La vie est belle il faut savoir l'apprécier.

Recueils édités
https://www.thebookedition.com/fr/la-tete-dans-les-nuages-p-378340.html

https://www.thebookedition.com/fr/de-caresses-en-morsures-p-350784.html

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Une énorme émotion, bien à vous, Simon...

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Visitez mon Blog et découvrez mes poésies du jour...

http://www.simzser.com
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Je n'ai pu empêché mes larmes de couler... Mes condoléances tardives mais sincères..

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Bonsoir MissTerre...Je t'envoie toute mon affection , et mon soutien...je garderai toujours en mémoire le poème profond ,intense et envoûtant de Loïc, ton fils...
Avec mon amitié .Anto

Je viens de savoir...

Accepte mes condoléances les plus sincères!

Que Loïc repose en paix et longue vie à la famille!

Driss

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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!

Driss

bonjour

Ne soyez triste honorable dame,l'âme est éternelle et la mort n'est que la porte
qui mène à l'immortalité,...

Nul ne meurt pour mourir mais on meurt pour découvrir l'immortalité..

Vous serez toujours liée d'amour à votre fils même si le temps s'est déformé.

Vous êtes en lui et il est en vous...vous êtes un fragment de l'éternité qui jamais
ne meurt ...


Votre fils avait la graine de la poésie en son âme...très beau son poème
Il a rejoint l'éternité dans l'infini en vous et dans l'infini en lui et vous deux en l'infini de l'absolu.

Je compatis .........mes condoléances..

Wordinheart vous salue

Bonjour Missterre




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Mon amitié sincère
Christophe

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vie nous apporte
coeur s'emporte
vie emporte..
l’âme supporte!
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émotion plus forte que les mots.

Merci à tous pour vos lectures.
Merci pour vos commentaires.
Merci pour le Poète.
Merci pour vos textes et mots de sympathie sur le blog et ici.

Merci pour Lui.

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BNjr Miss. Ai-je bien compris? tu as perdu ton fils? Je ne peux imaginer la peine qui doit t'étreindre. Aucun mot ne pourra, bien sûr effacer ta douleur.
Je vois que cela ne t'a pas empêché de nous faire profiter de tes délicieux écrits. Courage et toute mon amitié. Giorgio

Bonjour Giorgio,

Tu as hélas bien compris oui.
Loïc voulait poster un de ses poèmes sur le net en voyant que je le faisais de temps en temps. J'ai pensé qu'ici parmi vous son texte serait bien accueilli. Je l'ai également déposé sur mon vieux blog pour garder vos textes et le sien tous ensemble à portée de clic.

Quand je vois les nombreux commentaires que vous lui avez adressé et les nombreuses lectures qu'il a reçu, je suis fière de lui, fière de vous.

Merci pour tout. Merci pour lui. Merci pour nous.

Avec toute mon affection

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Il n'est point mort, il est immortel, vivant dans le cœur de sa maman!

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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!

très très joli poème d'amour
Amour Impossible

Attendre pour mieux trouver.
Montrer ses sentiments pour mieux aimer.
Obstiné à trouver l’unique, qu’
Un poète y perdrait ses rimes.
Risquer tout pour elle jusqu’au crime.

Inouï soit-il,
Ma vie s’achève sur cette île.
Pardonne-moi de ne pas avoir été à tes côtés,
Oh parce qu’au front j’ai lutté.
Si j’avais su !
Seul, pris au dépourvu.
Ignare ai-je été de ne pas t’avoir écoutée.
Baigné dans mon sang,
Le soleil se lève et je meurs innocent
Entends mon cœur, ton amant.

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l'amour est une fleur. Il faut prendre soin d'elle pour quelle fleurisse et donne son parfum.

Toutes mes condoléances un peu tardives.
C'est un grand malheur...
Je ne sais pas l'âge qu'il avait.
Courage, amie poétesse.

J'ai perdu ma maman, au mois d'avril, et je me joins à votre douleur.

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Je grave quelques vers sur une stèle,
en hommage à Loïc.
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Loïc, au milieu de ce stade,
Tu es tombé, en plein mouvement.
La mort était en embuscade
Et t'a frappé subitement.

Ton équipe a perdu un joueur,
Ta famille a perdu l'un des siens,
Mais aucun sombre lendemain
Ne pourra t'effacer de leurs coeurs.
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Courage à tous.

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Je vous invite à découvrir mes poèmes, empreints de délicatesse, de romantisme, de spiritualité, etc. (Prononciation classique : i-on ; i-eux ; i-eur ; i-a ; i-an ; etc.)

D'un Coeur frissonnant partageant ton regret, je vous dis courage Misss Terrre. Tendre Poesie.

Adriana

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On se demande parfois si la vie a un sens... et puis l'on rencontre des être qui donnent un sens à la vie..(Brassa)

Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler.

Le poème écrit par Loïc est fort beau. C'est quelqu'un de bien, auquel ses camarades de l'équipe de rugby rendent hommage.

Adn

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Le Maroc à quatre mains . Recueil peintures de Micam et poèmes d'Adn.
Couleurs et mots en osmose. Recueil peintures Micam et poèmes d'Adn.
Connivences. Recueil peintures de Micam et poèmes d'ADN.
AXELLE AUTOMNE, HIVER roman par Micam (mon ...

En ce jour particulier, pour beaucoup d'entre nous, si ce n'est tous, je voulais vous dire que je pense à vous.

Je vous remercie également pour tous les messages que vous avez adressés sous ce poème.

Mes amitiés à tous.

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Bonjour Miss Terre,

23 Janvier 2014...

12 mois se sont écoulés.
Journée anniversaire douloureuse...

Mes pensées t'accompagnent.

Je t'embrasse affectueusement.

Bien sincèrement à toi,

Anna

Je n'ai pas de mots...
Mes pensées sont au coeur de cette flamme.
Bleuet

Merci Napola pour ce message ... Il s'était passé une année c'est encore irréel et le tout début pour nous. Merci pour ton indéfectible amitié <3

Merci pour ces pensées et paroles Bleuet

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Respect et Silence....
***Dan***.....

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*** Un bonheur aplanit cent malheurs ***