Ma belle telle une fée tu m'apparais
Mon âme peine à décrire ton aura
Dans tes ailes tu viens au delÃ
De mes rêves divines larmes de raies.
Depuis longtemps je t'attendais
Mes pas gelés au soleil tardaient
A croiser le chemin où tu dansais
Souffle de ton corps se condensait.
Tes cheveux d' ébène ruissellent
Rivières de mes mains ô belle
Sur tes épaules ils s'enroulent
Contre mon corps s' écroulent.
Tes yeux ont murmuré mes prières
J'ai inventé tous les mots à plaire
Je n' étais plus qu'un oiseau fier
Se mirant dans ta verte sphere.
De ton corps j'ai épousé la ronde
Là où les monts voluptueux abondent
Dans ta douce chaleur intérieure
J'ai brûlé tout l'hiver pleurnicheur.
Je sais que tant que tu me tiendras la main
Tes larmes sécheront sur le chemin
Mes pas marcheront vers les étoiles
Au bout de la route mon aurore boréale.
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Amicalement Alanna