Elle se ferme pour saisir ce qui s'échappe,
Ouverte sur le monde qu'elle attrape,
Le bout des doigts effleurant le ciel,
Traînant les années sur la grande échelle.

Levée vers les astres la nuit pour s'en saisir,
Filant entre les phalanges de tous les désirs,
Ne laissant jamais les secondes s'évaporer,
Quelques bonheurs retenus à les adorer.

La paume où se recueillent les gouttes,
Après des ondées inattendues de doute,
Restant moite des nuits de perditions,
Tendant des accords pour la permission.

Elles se saluent au contact de la peau,
Révisent les formes des grands défauts,
Parcourant le velours soigneux des étoffes,
Sur le pelage dans le sens du respect sauf.

Tendu vers la chute s'aidant d'une plume,
Des actes en des mots qui les résument,
La volonté de donner encore pour l'ami,
La poignée de la paix à remettre à la vie...

Une main...

LeCrieur...

Cher allan
Une main bienfaisante et humble
Ouverte vers le mystère du ciel
En signe de prière souveraine
Une main qui par son toucher unique signe la communication
Des gens de bonne volonté.
Bises à toi

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Amicalement Alanna

Quand on ouvre nos mains ... il suffit de rien des fois rien ... comme le dit si bien JJG ...

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

Bonjour mes amies de poésie...

Et oui tant de paix dans une main ouverte...

Merci de vos commentaires...

Mes amitiés LeCrieur...