Pleurez mes rêves ! Qu’il fasse enfin beau
Sauriez-vous les ôter afin que le cœur évolue.
Ô mes rêves ! Je ne m’en rappelle plus !
Les larmes ont tellement tatoué mes yeux.
Devenues muses obscures de mes pages,
Elles m’inspirent colères et amertumes !
Maussades et noires, explosions d’orages
Elles grondent en moi et me consument !
En silence, la pluie dépose sur les nids
Des larmes étouffées et des chuchotis !
Mes vers deviennent résonance et bruit
Quand rien ne réduit le mal de l’ennui.
Il pleut sur mon cœur, chez moi
À l’intérieur. J’ai si peur encore.
Et j’ai honte de le dire. Ô ma foi,
Je me morfonds dans ce mal qui dévore.
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J'en fais ma lecture du jour,qu'ici gambade encore...(samedi 19*01*2013...23h 11)
Merci pour autant de beauté entre tes lignes!
"Pleurer revient à épurer tout ce qui contamine ce NOUS!"
Driss
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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!
Driss