On peut bien faire semblant,
Ou fermer les yeux, Tout simplement,
La misère est à nos portes,
Le pauvreté à nos seuils,
La colère qui les emporte,
Les drape comme un linceul…

On peut bien oublier notre environnement,
Croire des discours qui rassemblent, soit disant,
La misère est sans détours,
La pauvreté est invendable, sans manigance,
Un passif qui devient trop lourd,
Et des licenciements en abondance..

On peut bien imaginer un monde plus grand,
Le cœur des autres plus compatissant,
La misère est sans amour,
La pauvreté meurt en silence,
Pour ne pas nous rendre sourd,
Elle se terre dans sa souffrance…

On peut bien croire en un avenir flamboyant,
Si les valeurs changent, et que peu importe l’ argent,
La misère reculera si elle s’exporte,
la pauvreté ne sera pas leurs cercueils,
si elle peut générer du bénéfice, si elle rapporte,
on pourra s’assoir dessus comme sur un fauteuil…

sombre et tellement reél
très bel écrit , très triste vérité
mes amitiés
yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

une bien triste vérité hélas

Bonsoir,

Triste constat, et un écrit sombre et profond sur dure réalité.

Amicalement Franie

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