MERCI A DOUCEUR3, (Poème longuement repris)
NOEL
L’air ambiant chargé de présents sème l’espoir
Prières muettes que passants répètent dans l’errance du soir
Leurs yeux semblent voir ce que le cœur ne peut espérer
La honte qui pèse les rend mal à l’aise l’ égocentricité
Il est triste et sombre ce temps, il fait si froid
Des sans famille dans l’insouciance, en grand désarroi
J’aimerais connaître pour un soir la recette qui rend heureux
Inventer un renouveau, d’un Noël mystique, sans miséreux
Monde de rêve, pour tout conflit une trêve ou l’individu
De ce lieu enchanté, de rues souriantes aux arbres de vertus
Leurs branches aisées se ploient en respect pour vous saluer
Une société ou rire est lumière, un bien être, une pensée
Les secondes s’égrènent du carillon sans peine et nous fait oublier
De lire dans les yeux, des enfants heureux que minuit va sonner
Rompant le silence comme une délivrance l’horloge à chanté
La joie des enfants, nous sort un instant de la réalité
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La guerre
Massacre de gens qui ne se connaissent pas,
Au profit de Gens qui se connaissent mais eux
ne se massacrent pas.
Ambrose bierce
