En cette fin calendaire
Sont en panne, mes hémisphères
L'effervescence de la joie
Me quitte, je change de voie

Es-ce en raison du cataclysme?
Viendra t'il me chercher, enfin?
Le désir noir n'est pourtant plus mon hymne
le long des bandes blanches, voilà mon refrain

Et j'écris, je pianote, néo-poésie cybernétique
A travers le pseudonyme, champ obligatoire
Ma symbiose était l'ivresse, me donnait des tics
Fourvoyé dans la sobriété, voilà mes mots sans boire

Lisez, dégoûtez-vous de cet auteur
Attendrissez-vous dessus, au moins pour moi
Toutes mes émotions convergent à l'horreur
Abreuvez-vous de cette ligne, mon ultime loi

Bonsoir Bhebhe

effectivement les idées sont noires, voire troublantes, il est temps de laisser pénétrer un peu de lumière, décembre n'est il pas un mois ou joie règne (pour certain)

Amicalement Franie

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Si bien sur, Décembre est un mois festif. Faire entrer de la lumière et afficher le sourire le plus souvent possible.

Merci.

J'aime ton style direct
Et si poétique dans la recherche de la lumière
Pour sortir de ta nuit
L'horreur nous guette et comme un papillon de nuit
Dans un effort surhumain nous voulons brûler
Nos ailes à la lumière
Merci

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Amicalement Alanna