Il vient juste d’avoir sept ans mais il est sans père !
Sa vie est comme des rimes amères,
Maintenant il n’a plus de mère,
Il est seul au monde, fil unique sans repère.
Il pleure… ça le libère.
Il vie dans la solitude, et n’a plus que cette terre nourricière.
Il veut savoir à quel ministère
Se confier ! Il est jeune et n’a aucune notion de cette matière (connaissance).
Il ne maitrisse pas encore le langage de Molière
Mais consomme discretement de la bièrre,
Il est soucieux car la vie le gère,
Il peut être fier car auprès de lui se trouve une messagère.
S’il avait eu un frère,
Une sœur aussi assidue et commère
Il ne devrait pas vivre cet amour éphémère,
Du moment où l’on l’opère.
Il est d’une triste ère,
Et sur son lit de l’hôpital, se voit empreunté une croisière
Il sourit à la vie : une à laquelle il coopère,
Et oubli sa misère.
Dans ses yeux d’ange coulent des larmes de rivière,
Il a une lancine qui lui transperce ses viscères,
Il est orphelin et fluide de caractères.
Même s’il est seul sans défence et confronté aux langues de vipères.
Chaque jour il voit des chimères,
Avec lesquelles il se confronte sur toutes les frontières.
Il est sans armes, mais a une prière,
Une qui le couvre comme des vivres frais dans une glacière.
Il a mèné sa vie sans colère,
A connu à une certaine maturité une écolière,
Son orchidée et sans se deconcerter, un matin de bonheur, sont allé au cimétière
Devant leurs tombeaux, posés des fleurs, puis ont connu la lumière.
Il était certes sans père ni mère,
Mais un exemple aujourd’hui auquel on se refère.
Il a dû traverser toutes les frontières comme du vent sur les rizières.
Il est une histoire, une pépinière…
Texte destiné à tous les enfants orphelins, les enfants abandonnés, ceux résident dans des orphélinats :
« La vie ne s’arrête pas si on a plus de famille car votre propre famille c’est vous !!! »
Les morts ne sont jamais morts…
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Rominal
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" Le monde, la vie, la nature de quelque côté qu'ont les prends, sont peins aux couleurs de l'amour " Rominal
