Pleine comme un ballon perdu dans les étoiles,
En ce beau soir d’octobre, une lune forgeant
Ses rayons, dessinait des corbeilles d’argent
Sur l’océan ridé par un bateau sans voiles.

Posé sur mon balcon tel un Rodin, pensant,
Je contemplais la côte où des lueurs blafardes
Papillonnaient aux caps que la nuit de ses hardes
Recouvrait, mamelons au galbe évanescent.

Moderne conquérant, j’allais à l’aventure,
De la Terre étrangère en piller la culture
Dans l’immense palais brillant sur les flots morts.

Las ! Je n’ai qu’effleuré les merveilles offertes
A mes yeux soupirant mais riches découvertes
Furent les horizons des villes et des ports.


Nov 12

Bonjour Calijo

Jolie croisière que celle-ci, les images dans leur beauté, ne peuvent que transporter.

Amicalement Franie

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de belles images qui font voyager, merci du partage

Merci franie et félinelove

Pour de belles images ce fut de belles images.

Cordialement

calijo

Quand les mots se font bateaux ivres à travers les horizons...

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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.

Pays et paysages que nous voudrions connaitre ne nous sont malheureusement pas toujours offerts par une croisière qui ne fait qu'offrir des horizons.
HONORE

J'ai suivi ton voyage avec le plaisir du silence retrouvé

bonne journée
Noel

Une belle traversée qui nous offre mille découvertes à rêver.

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Merci Galia, Honoré, Noel et Soliane.

Ce furent des moments magnifiques, la restriction à la fin du poème
est due au fait que l'on ne peut pénétrer des villes comme Naples ou Barcelone
en un après-midi.

Cordialement

calijo