Oasiennes et Oasiens,
Veuillez excuser ce nouvel Ă©crit, alors
que j'avais affirmé ne plus écrire.
J'ose Ă soumettre celui-ci Ă vos avis.
Merci
Destin réservé,
Ce visage d’attraits et désirs d’enfant,
Enfoui dans ma mémoire d’aspirant,
N’est que fantasme d’ancien perdant,
Qui sonne mon cœur, comme oliphant.
Dans ce béguin, tendre et sentimental,
L’acte théâtral avait le sens du charme,
Pour accomplir et créer l’épithalame,
À rester aimants, fortunés, dans le virginal.
Oui cette profondeur, forte, de mon heur,
Je l’ai connu par le biais de cette petite fleur,
Qui a adouci et empli mon adolescence,
Par son imminence et douce présence.
Ces premiers moments de tendresses,
À cette période, inconnus par maladresses,
Restent dans mon âme les plus beaux,
Et resteront en moi jusqu’au tombeau.
Cette fortune que nous avons, Ă ne pas oublier,
Est comble d’un toit que nous voulons bâtir,
Pour cuirasser, notre amour d’Elle, et la réalité
D’un destin qui, malgré nous, a été réservé.
Écrit par Antoine le 07/12/2012
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Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
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Antoine
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