POURQUOI FAIRE SOUFFRIR CEUX QUI NOUS AIMENT
Tout est décrit selon une histoire,
Une histoire auquel tout le monde ne peut croire ;
Qui commence et fini au centre ;
De notre vie, comme une eau salée qu’on ne peut boire.
On vient juste d’avoir quinze ans,
Et c’est comme si on l’avait connu d’antan.
Ce mot qu’est l’amour,
Qui nous vit et qui en restera toujours.
Elle est comme une sirène des mers dorées,
Voilà sur quoi nous sommes penchées, des idées de soupirs pour lui faire rêvée, la décorée.
Comme le commence les lettres de alphabet,
Devant cette perle d’océan, on devient presque analphabète.
D’un « a », on lui crache, sur le visage nos passions
Seule sur son lit, elle vous vie,
Comme « b », elle pense à vous… à « p » une possession,
Qui va et nourrit ses envies.
C’est le début d’une histoire,
On aime sans savoir ce qu’on fait,
On s’offre de cet amour aussi naïf sans savoir ses effets,
On aime son prochain, sans vouloir.
Au lendemain, c’est une rose exaltante qu’on rencontre,
On veut bien la garder, la momifier.
On veut lui chanter des mélodies comme chaque seconde qui découle de notre montre.
On ne pense plus à notre perle dorée !!!
Flegme dans son coin,
Elle ne sait ce qui lui arrive, elle n’en sait point.
On parle d’amour propre, de lion, qui piste les moindres recoins,
Nous rend stupide et nous renvoie très loin…
Si aimer c’est s’offrir,
Pourquoi la quitter et la faire souffrir
Si aimer c’est s’ouvrir,
Pourquoi fermer les portes de son cœur sans même couvrir.
Si aimer c’est donner et pardonner,
Pourquoi ne pas oublier ?
Si cela a une destinée,
Pourquoi il n’est pas prédestiné.
On se plains, on pleure, on souffre.
Le chagrin vient, il nous couvre,
La déception elle nous ouvre,
Et on est sur les pistes de la vie, on pense encore en quoi fait recours.
On pense Ă un autre parcours,
C’est de là que chaque histoire a un début et une fin.
Ainsi c’est la fin d’une histoire,
Qui annonce le début d’une autre.
On ne pense plus à « elle », à « lui »
On s’en fou des ses souffrances !
MĂŞme si on est plein de remords, de ses absences,
On ne veut plus revenir en arrière : c’est la vie !
Romain TONANG
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" Le monde, la vie, la nature de quelque côté qu'ont les prends, sont peins aux couleurs de l'amour " Rominal