Écoutez ma complainte,
C’est un cœur meurtrie qui vous parle.
Je viens de réaliser l’option selon laquelle mon impertinence exacerbée,
M’a trainé au bord d’une singularité sans égal.
Cette lugubre particularité stimule des faits,
Qui laissent sur le carreau des meurtres Ă dessein.
Des histoires de cause Ă effet,
Je le peins, ce dessin.
En revenant sur cette impasse, une étourderie totale s’est emparée de moi.
Fort de ce constat, je vous prie, de cultiver une certaine indulgence
Et de ne pas céder aux caprices de l’intolérance,
Car le monde à lui-même n’est pas logique quoiqu’on dise.
Suite Ă la mer que je vous ai faire boire,
Je me consterne aujourd’hui au prix de la honte et de l’estime.
Vous n’avalerez plus les couleuvres portant ma marque,
Ceci est un serment que je prĂŞte Ă vie.
Convaincu d’avoir délogé le diable qui m’habitait,
Je serais désormais le plus vertueux
Et le plus résolu possible en toutes mes actions
Que je pourrais…
Toute fois,
Il vient toujours un moment de sa vie,
Qu’on se décharge de sa lourde connotation péjorative de l’histoire
Croyez m’en, je vous idolâtre.
Rominal
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" Le monde, la vie, la nature de quelque côté qu'ont les prends, sont peins aux couleurs de l'amour " Rominal
