L’enfant qu’on tue
Et je tombe de haut, et je tombe parterre
Je porte mon fardeau, noyé dans ma misère
De tripot en tripot, de galère en galère
Encor’ un apéro, sers-moi un dernier verre
Il me faut oublier tous ces enfants qui meurent
Et ces cons qui diront que pour eux c’était l’heure
Comme s’il y avait une fatalité
A être assassiné dans cette humanité
A vouloir faire la bombe et aussi la java
Tu vois dans ce bas monde que rien plus rien ne va
Et l’enfant de quatr’ ans tué par quelques fous
N’est pas juif ou arabe, c’est un enfant c’est tout
ALTOFE
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Le juste point d'équilibre