Quand l'âne prêche, hélas, il y a toujours des gens pour l'écouter et le suivre dans ses imbécillités !
Ton poème a le grand mérite d'aborder un sujet extrêmement grave ; il n'est pas qu'un simple divertissement poétique.
Tu y dénonces les atrocités commises en temps de guerre, comme ces innocents victimes de balles ou de missiles. Et même un bébé atteint par un obus : une image très forte et fort tragique !
Ne sois pas triste d'avoir eu peu de commentaires : cela arrive, en fonction des hasards de la lecture... Il n'y a pas de silence intentionnel de la part de nos amis poètes, je suppose.
Peut-être le sujet dérange-t-il ; c'est possible aussi... La guerre n'est pas une chose que l'on aime regarder en face...
Tu sais, parfois, on n'a qu'un ou deux commentaires en trois jours, et puis on en a dix en deux ou trois heures ; donc sois patient, ami.
Moi, j'ai apprécié ton poème : l'image du bébé et des innocents exterminés m'a beaucoup touché !
> "Et la paix meurt sur les lèvres du bébé..." > Quelle tristesse !
Un immense bravo ! - Et quelques pleurs...
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Je vous invite à découvrir mes poèmes, empreints de délicatesse, de romantisme, de spiritualité, etc. (Prononciation classique : i-on ; i-eux ; i-eur ; i-a ; i-an ; etc.)