Si le temps est l’outil ciselant la douceur Qu’il n’impose jamais qu’une tendre chaleur ; Plus haut que le besoin de bonheurs corporels Et l’assouvissement des langoureux appels Plus près de cette peau où mes lèvres se collent Plus vivant que mon cœur dont les rythmes s’affolent Plus goûteux qu’un baiser sur votre bouche pure Je le rendrai exquis ce doux bonheur qui dure.