Suite de Je vous parle d'ailleurs

Elle a fui. Mon espoir était le suicide.
Vais-je finir mes jours ainsi sans réconfort,
Plus raide qu’un pendu dont le cœur est aride
Pour oublier le ciel noirci de mon décor ?

Mon esprit disparaît pire que dans l'acide
Et je n’ai pas les clés du cruel coffre-fort
Où je suis enfermé par mon geste stupide
Pour oublier le ciel noirci de mon décor

Je regrette, à présent, ce désir d’altitude
Car j’aurais pu connaître une neuve habitude
Pour oublier le ciel noirci de mon décor.

Regardez sur ce lit, pétrifié, factice,
Je suis sans un demain, j’ai trouvé l’orifice
Pour oublier le ciel noirci de mon décor.

un sonnet bien sombre

j'ai aimé vous lire

bonsoir

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

moi j'attends la suite lumineuse de cette histoire...beau mais sombre écrit

Merci Cyrael,

Certaines histoires d'amour finissent dans le désespoir.
Amitié
ATHANOR

Merci Boreal,
Je suis heureux que cette histoire te plaise.
Amitié
ATHANOR

Triste sort

C'est beau mais c'est vraiment triste

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