Pas même un message pour troubler cette angoisse. Le regard de ma vie qui devient orphelin. Mes yeux tombent sur l’horloge, voici le temps qui passe. Que reste-t-il à manger ? Peu importe… J’ai pas faim.
« Comment vas-tu mon cher, mon très cher locataire ? ». « Ton studio est trop blanc, je suis seul et j’ai froid… ». Je lis sur internet : « Les vacances, c’est super ! ». Je verse sur mon clavier le vertige d’être là .