e bienfaiteur
si prêtre sot , lit, taire ta folie,
Tu m'écharpes des jardins flétris,
Tes jeûnes, sont-ce les raisons, ou Ses dés,
Qui de deux jeunesses, ont livrés des destins croisés.
Dans ta cité, urnes tu veux quérir,
taciturne, je reste sans guérir,
Money time, être ou gérer?
Abel ou Caïn, tour à tour nous font errer.
Des viols, anses perdues, eden éphémères,
Violences de ces hanches, pères dûs à nos mères;
Qui de Je inspire Moi? Qui est l'apôtre?
Qui des deux aspire l'autre?
Raisons sans lumières,
Rai de lucidité, lu dans ces pierres,
voilà une vérité, atavisme?
Artificiel, mes voies, mes envies,
Art difficile, Ciel de venir à Toi,
Solide Tu observes nos errements,
Solitude se nomment nos diversions,
Et d'hiver naissent nos croyances.
Valses, hésitations quand siffle,
Le sentiment éthéré du choix,
Si près rampent nos illusions,
Silence, sombre, quand sonne la tentation,
Croquer une chimère,
Ravaler ses rêves,
Cueillir la rose ou le glaive,
Goûter le miel, et finir poussière,
Sous tes paupières,
Eden,
Dans sa peau, un Pierre te portera.
Parfois, le bien fait taire,
le bienfaiteur.
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" l'essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien qu'avec le coeur"