À toi ma rose je te souffle ces pétales de la tour Eiffel au paquebot de Marseille mais, seul je suis aujourd'hui.
Mais rose qui t'a enlevée de ce jardin ensoleillé, est-ce que c'est un célibataire ou un homme riche d'idée qui t'entèrent.
Quand pourrai-je te revoir comme le soir de cette lune millénaire qui par l'attraction, à travailler pour Cupidon.
Demain je partirais ta tige dans ma main je chercherai dans les jardins du monde, pour retrouver ta senteur.
Courant et vagabondant je fouillée la misère du monde, a ces pleures ces peurs et ces larmes pour t'arroser.
Le soleil tapant massacrant mes gouttes de sueur j'avançais mais, chaque pas m'enivrait de nos idées a deux.
Je sais plus où je vais seul mes pensées s'affichaient, comme un carnet de souvenir où on étais figée.
Comment pourrait-je réanimer nos folles idées qui nous avaient donné, l'espoir d'un amour qui aurait pu exister.
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Un jour un homme m'a dit tous finira ou tous t'a commencer.....Mais peut être qu'un jour ça recommencera.