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Méfiez vous des apparences

Bonjour TheKid,


Le cafard est un ange !!!!!

Je t'imagine assez bien, enfermé dans "ton placard", retenant les murs

qui t'étouffent .....et cet ange dont tu parles, il est celui qui te permet de garder

ton calme, d'apaiser tes angoisses, d'essuyer tes larmes.

N'y laisse pas ton âme, ami de poésie dans ce placard !!!

Les vrais sentiments sont toujours bénis, et ton esprit ne peut fuir ce que Dieu a uni.

Gros Kiss à toi, mon ami de poésie

Arwen

"Et l’ange en nous,
Ne mots dira, ne maudira."

je l'aime bien celui là...
et j'adore tes rimes!

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si tous les cafards ressemblent a ceux ci alors ce sont vraiment les anges de nos placrds.
de grace,laissons les vivre!
bise a toi Hassen

"Aux pavés qu’elles mordillent, léchant leurs flaques,
Ces mouvantes lueurs, ces rampantes fumées,
Sont du cafard l’interminable espoir."

Quelles force évocatrice dans ces mots !

Bonjour TheKid voila des cafard que ta jolie plume nous rend presque sympathiques.
J'ai aimé.
Capricorne

je n'avais jamais regardé les cafards sous un tel angle , merci de m'avoir laissé pénétrer dans l'intimité de ton placard .
HONORE

Ô cafards !
Quand le soleil viendra,
On nous écrasera,
Et l’ange en nous,
Ne mots dira, ne maudira.

Un poème qui me touche et ces lueurs dans le noir sont signe d'espoir .

Et dans ce placard , le cafard a de l'humour !

Halcyon.

Des mots pleins de force tricotés
avec humour ..

Amitiés

poemic

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MON 2eme RECUEIL...JE TE PORTE L'AUBE..EST DISPONIBLE..
http://www.oasisdesartistes.com/modules/newbbex/viewtopic.php?topic_id=97282&forum=47

des mots fort s, un style que j'admire beaucoup

On n'est pas loin de la métamorphose, là ! Que la force du cafard soit avec nous, sombre ami !

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Cultivez votre amour de la nature, car c'est la seule façon de mieux comprendre l'art! (Vincent Van Gogh)

Le terme placard ici et cafard ont un sens plutôt profond et loin de ce
que peut y lire le lecteur comme humoristique.

Le placard ici est une retraite de méditation et contemplation à l'interieur de soi
c'est un recuiellement dans l'âme pour mieux penser et faire discernement
sur quelques sujets ou choses qui vous tracassent.

Le placard c'est aussi une pause mentale et spirituelle pour se parler à soi même
et réflechir en toute transparence loin des contraintes des pensées ordinaires.

en votre poème il y a un certaine une certaine pensée que je n'arrive à déchiffrer mais
que je devine en gros peut être.

Bravo aussi pour le jeu de mots ,subtil et bien mené.

une belle visite au fond de ton placard à pensées,j'apprécie..

Maurice

Merci à tous ami(e)s de poésie.

Tu as raison Tamaris, le placard est un endroit où les maux s'habillent à leur guise, c'est un peu le divan sur lequel je me parle...le cafard c'est moi bien entendu, j'aime le cafard, j'aimerais avoir tout ce qui fait qu'il est indestructible...il est aux murs le maître incontesté.

Quant aux fissures des miens, j'y travaille, sans m'en soucier plus que ça, les chroniques sont parfois aussi joyeuses.

Mais au fait, j'y pense...tu ne me liras pas je crois...tu es là?

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Méfiez vous des apparences

je cherche à percevoir votre logique à travers le choix d'un cafard comme ange !!! bizarre comme même ce choix ! inattendu et surprenant !
mais la fin justifie les moyens


est-ce le cri d'un coeur vaincu qui se cache dans son placard sans vouloir en sortir, accompagné d'un mystérieux cafard qui attend solennellement sa fin écrasé sous un pied ?
peut être adopterais-je votre philosophie quand je me sentirai faible et anéantie par les maux qui ne cessent de me hanter juste pour découvrir le bien être qui se cache à l'intérieur de ce placard

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Tu donnes avec aisance ses lettres de noblesses au cafard,
Ennemi s'il en est de la vie.

J'écrase le cafard d'un coup sec (je sais c'est dur mais il le faut) et met ce bien petit placard à l'air pour l'éloigner des allégories de la grotte (ok caverne si tu veux)

Texte superbe !
Trottons TheKid Trottons
Mais pas au pas des cafards

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un enfant du placard jouait innocemment avec un cafard aux ailes d'ange

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merci vous 3! (Très jolie phrase ami poète)

bon, pour ne rien vous cacher de cette chronique, je parle en fait du ghetto...où j'ai grandi, où l'on se fait étiqueter, juger sans procès, où la jeunesse est appelée racaille...ici cafard.

c'est un peu ma revanche (sur qui? je ne sais pas, sur moi peut-être)

merci encore

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Méfiez vous des apparences