Oasis des artistes: Poésie en ligne, Concours de poèmes en ligne - 6528 membres !
S'inscrire
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 


Mot de passe perdu ?
Inscrivez-vous !
Petites annonces
Qui est en ligne
176 utilisateur(s) en ligne (dont 155 sur Poèmes en ligne)

Membre(s): 0
Invité(s): 176

plus...
Choisissez
moi petite
HĂ©bergez vos images
zupimages
Droits d'auteur


Copyright



Index des forums de Oasis des artistes: Le plus beau site de poésie du web / Poésie, littérature, créations artistiques...
   Vos poèmes ***UN SEUL PAR JOUR*** Les "poèmes" Ă©rotiques descriptifs ne sont pas les bienvenus sur ce site
     ĂŠtre ou ne pas ĂŞtre
Enregistrez-vous pour poster

Par conversation | Les + récents en premier Sujet précédent | Sujet suivant | Bas
Expéditeur Conversation
Bari
Envoyé le :  16/9/2012 11:06
Plume d'or
Inscrit le: 17/3/2012
De: vichy
Envois: 556
ĂŠtre ou ne pas ĂŞtre
Ne t’attarde pas dans tes rêves à rechercher mon image
Car je ne suis qu’un errant fantôme pupille de passage
Sans aucun lieu d’attache sans corps ni âme ni ombrage
Véhiculer dans les temps et l’espace sans nul équipage

Je suis l’hirondelle qui reprend chemin chaque début d’été
Voguant des les airs guidée par mes instincts bien habitués
Vers d’autres lieux à la recherche d’un nouveau printemps
Laissant derrière moi la cigale ruminant son lassant chant

Je suis le soleil qui se couche le soir et se réveille le matin
Flottant entre l’aurore brillant et le crépuscule pourpre satin
Attendu à l’aube par les yeux vaillants et les cœurs hardis
Et sollicité le soir par les âmes dépitées des sombres nuits

Je suis l’effluence d’un parfum débordant du jardin clôturé
Où les rares roses sont cultivées et des envieux protégées
Emanant de l’intérieur emporté par le vent en l’air propulsé
Pour éveiller le flair des pénitents aux sens fins et aiguisés

Je suis l’agile pâte de peinture aux couleurs miscellanées
Depuis les temps utilisée des Pharaons à Manet et Monet
Que l’artiste malaxe habilement en nuances déterminées
Fourrée de mille et une vives couleurs sur les toiles étalée

Je suis le signe représenté en soupir d’un silence imposé
Je suis le bémol que l’impétueuse dièse vient toujours ôter
Je suis le violon imputé de son archet et de son chevalet
Je suis la fin d’une symphonie concertante en rêve dédiée

Je suis le mensonge l’imaginaire l’irréel la fable l’hypocrisie
Que de valeurs en symphonies orchestrées dans ma poésie
Les rimes accolées et alignées par des vers sans vertu liées
Aux strophes à la cadence des 12 pieds maintes fois décalée
Par conversation | Les + récents en premier Sujet précédent | Sujet suivant |

Enregistrez-vous pour poster