Ah la verve du poète et sa rage qui l'anime.
un cri qui vient de l'intérieur on le sent dans les mots qui
semblent hurler,interpeller...
c'est vrao que c'est triste comme poème mais lecture et plaisir garantis.
Merci,bonne soirée/..
Quand les mots n’auront plus de prix !
Quand les mots seront futiles et incompris.
Quand l’amour perdra sa luminescence
Et les cœurs seront vils, sans innocence !
Papillon dans les yeux et je poétise
Mon cœur à la dérive et je poétise
J’irai planter un coteau au cœur de la nuit
Quand les fleurs ne seront plus belles
Quand s’abiment consonnes et voyelles
Et se ternissent nos cœurs et nos poèmes
La tempête frappe alors nos âmes bohèmes.
Et nous ferons alors semblant de rêver
Ô rage ! Tout est sombre à crever.
Maurice
P.S: vous avez omis un 'u' pour couteau à moins que vous ayez voulu
dire par coteau une colline.