MILLES ET UN SANGLOT


Le silence est venu brutalement
Se mélangeant avec des blessures d’antan.
Les roses à mon goût se sont fanées
Comme si que tout était terminé.

Milles et un sanglot
Que j’ai pu recevoir comme un fardeau
Je ne savais pas quel point je t’aimais
Je ne peux rien oublier.

Il ne me reste qu’à me souvenir
Pour revoir quelques éclats de rire.
La nourriture devient moins délicieuse
Comme si que toutes choses devenaient odieuses

Je me cloitre dans mon silence
Dans lequel l’étouffement et le mal-être font alliances
J’aimerais bien hurler, crier
Pitié, pitié, Arrêtez… !

Parait-il que je ne supporte pas le pire
Mais j’en ai assez de souffrir
De ces gamineries qui ne pensent qu’à leurs gueules
Et que moi au fond je suis seule.




SANDRINE R LE 11.09.2012

Bonjour POETICA1301

Mille et un sanglots ... je pense que c'est mille et un de trop. ..mais du moment qu'ils te font écrire un si joli poème.



Amitiés

Christian

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Comme si tout était terminé...
Et que moi au fond je suis seule

Très émouvant
Écho en moi
Justesse

Merci.

Il paraît que la poésie en a besoin pour mieux s'arroser...
Courage et merci por ce touchant poème!
Bonne soirée,Sandrine!

Driss

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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!

Driss

Des moments difficiles à vivre, très bien exprimés.. il est vrai que le gout de la vie comme celui des aliments est étroitement lié à notre humeur, à notre bien être... Je souhaite que ces appétits te reviennent très vite.

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Amitiés,
Maria

On ne recommence plus, mais se souvenir c'est presque recommencer. Charles Nodier