Bonsoir sadness,
"L'ivresse bucolique libère les champs léthargiques
Anesthésiant mes impudences fantasmagoriques.
Les feux- follets s'interdisent tout chant magnétique
Pendant que ma plume d'acier tremble en mention,
Sillonnant les sentiers d'éthanol, instants fucaces
Où je ne suis qu'une infime particule de bonheur
Effeuillant l'étole de son coeur, alors je m'efface."
Ce serait dommage, sadness, que tu t'effaces !!
J'adore te lire, tu sais ?
Toute mon amitié
Arwen