Ah comme ils étaient gentils ces petits
Ils méritaient bien que je m’en soucie
En leur consacrant tout mon temps
Ils n’étaient pas comme ceux de la voisine

Ah comme ils étaient travailleurs
ils me comblaient de bonheur
ils méritaient bien que je m’active pour eux durant des heures
ils n’étaient pas comme ceux de la voisine

Ah comme ils aimaient les études
Enfermés dans leur chambre, ls travaillaient dur
iils auraient une très belle situation c’est sur
Bien plus belle que ceux de la voisine

Ah comme ils seraient reconnaisssants
D’avoir eu une maman si aimante
Ils seraient toujours présents
A l’affut de la moindre demande
Bien différents de ceux de la voisine

Ah comme elle était naïve la maman
ils font leur vie maintenant l
Et m’ont reléguée au second rang
Tout comme les enfants de la voisine

Les notres ont un petit je ne sais quoi en plus
Que les autres n’ont pas !!!!
c’est du moins ce que l’on croit
ils connaitront sans doute les mêmes tracas
tout comme les petits la voisine si elle est encore là

oui malheureusement il y en a je le vois bien ou je travaille des résidentes qui ont des enfants mais les voit jusque qu'une fois l'an et encore, c'est bien triste

La gravité du sujet n'exclue pas que ton poème ressemble à un e chanson..J'ai aimé le style .!
Une leçon à ses parents qui croient que leurs enfants sont mieux que les autres.!A part bien des cas fort tristes,je crois que tt les mamans font au mieux..L'avenir est parfois trompeur.

et oui, nos petits sont toujours plus beaux que les autres, mais quelquefois...........................

j'ai aimé cette vérité un peu triste, c'est vrai!!!

mon amitié!!!

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